L'étoile de glace, d'Andy Goldsworthy.
Des jours de grands fracas et de tremblantes mains écorchées.
Il y a des matins de regard couché.
Des pas incertains et des bruits étouffés.
Il y a le sentiment de ne pas être né
de n'être de nul part espéré.
Il y a des couloirs et des ponts,
des villes renards et des drôles de lascars,
Des croque-bestioles qui vous enferment dans le noir des placards
qui vous racontent des histoires
où personne n'ira jamais mettre le bout de son nez
des heures de rendez vous blizzard à sans unique à sans égard.
Il y a la monnaie qu'on balance même pas pour le vœu
juste pour partager un mot ou deux et c'est peu.
Il y a ces Noël que d'autres dansent et ces années lumières qu'on a laissé de côté.
Il y a tellement d'images auxquelles ton ombre est venue se confier.
Un peu d'inachevé, un petit peu d'eau salée.
Il y a la route, cette inconnue de fortune,
il y a un sourire qui écoute et qui a dit juste ce qu'il pouvait.
Ce visage, ces mots simples et qui roulent en route et qui sont si beaux d'être vrais.
Il y a comme ça ces heures qu'on aurait jamais du croiser
et puis vient cet instant qui ne peut rien effacer mais qui peut tout te donner.
Il y a un jour comme ça sur ta peau
qui te laisse un baiser et qui te fait tourner la tête
dans le sens où ton coeur recommence à marcher
Des jours de belle chance et de mains enlacées
d'une lumière qui dessine le seul nom que ne peut être inventé.
Astrid Shriqui Garain. © , " la glisse" , 12.2016
de n'être de nul part espéré.
Il y a des couloirs et des ponts,
des villes renards et des drôles de lascars,
Des croque-bestioles qui vous enferment dans le noir des placards
qui vous racontent des histoires
où personne n'ira jamais mettre le bout de son nez
des heures de rendez vous blizzard à sans unique à sans égard.
Il y a la monnaie qu'on balance même pas pour le vœu
juste pour partager un mot ou deux et c'est peu.
Il y a ces Noël que d'autres dansent et ces années lumières qu'on a laissé de côté.
Il y a tellement d'images auxquelles ton ombre est venue se confier.
Un peu d'inachevé, un petit peu d'eau salée.
Il y a la route, cette inconnue de fortune,
il y a un sourire qui écoute et qui a dit juste ce qu'il pouvait.
Ce visage, ces mots simples et qui roulent en route et qui sont si beaux d'être vrais.
Il y a comme ça ces heures qu'on aurait jamais du croiser
et puis vient cet instant qui ne peut rien effacer mais qui peut tout te donner.
Il y a un jour comme ça sur ta peau
qui te laisse un baiser et qui te fait tourner la tête
dans le sens où ton coeur recommence à marcher
Des jours de belle chance et de mains enlacées
d'une lumière qui dessine le seul nom que ne peut être inventé.
Astrid Shriqui Garain. © , " la glisse" , 12.2016
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