mercredi 14 décembre 2016

Forêt pelote

Photographie : la souffleuse de verre, 2016,
film de Petra Durst-Benning




Le ciel et moi nous tombons 
à flocons ouverts
au bout des cils 
il y a la vie qui marche sans hiver
et puis le vent qui écrit sa rivière. 

De la pointe de l'étang le monde donne la lumière
L'arbre grandit lorsqu'il comprend.


Forêt pelote, 12.2016 ©Astrid Shriqui Garain .

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