Marguerite Duras
Elle ouvre passage.
Son rythme c’est la déchirure.
Son souffle, la réappropriation.
L’absence, son écriture
Ses mots, l’empreinte du manque
Ses images, la lecture du passage.Sa folie – la mémoire de l’esprit
qui tranche, sur les bris de la vie,
nos absences, dans le silence de nos cris.Pour s’écrire, jusqu’au soir de sa vie,
aussi nettement que ça,
sa main,
ce jour là,
ne tremblait pas.
Astrid Shriqui Garain, mai 2013
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